La façon de retirer de l’argent aux guichets automatiques tels que nous les connaissons aujourd’hui, va être retirée progressivement pour mettre en place une nouvelle technique de retrait d’argent sans avoir besoin d’une carte physique. C’est-à-dire que cette nouvelle méthode sera basée sur l’activation d’un système sans fil avec des applications pour une utilisation mobile, ayant la fonction d’une carte numérique.
Cette technologie c’est le NFC, pour son acronyme en anglais Near Field Communication.
Actuellement, il y a des pays qui utilisent déjà cette nouvelle forme appelée « cashless », comme l’Ecosse, qui compte déjà de nombreuses agences bancaires qui n’acceptent ni n’offrent de billets ou de pièces, et 95% des achats au détail sont déjà effectués sans espèces. D’autres cas similaires sont la Norvège, la Chine, la Corée et l’Australie, qui visent à devenir une société sans numéraire d’ici 2030.
De cette façon, l’inclusion du paiement électronique est recherchée, contribuant ainsi à l’objectif d’universalisation du paiement numérique.
Comme nous l’avons mentionné précédemment, ce qui disparaîtra, ce sont les cartes physiques, il est également vrai qu’il y aura un renouvellement de nombreux guichets automatiques, donc la façon de les utiliser devra changer.
Pour utiliser ce mode de paiement, votre appareil mobile doit disposer de la technologie NFC et également d’une application de paiement ou d’un portefeuille numérique, qui devra être lié à la carte ou au compte bancaire.
C’est en fait exactement le même principe que le paiement sans contact que vous utilisez peut-être pour faire vos courses. Certains y voient un côté pratique, d’autres pointent la disparition de la monnaie liquide d’un mauvais œil puisqu’à terme il s’agirait de contrôler encore plus nos transactions.
Certains font aussi le lien entre la technologie NFC et la puce RFID.
Quoiqu’il en soit nous allons de plus en plus vers un monde ou les technologie prend une place de plus en plus (trop) importante dans les vies des humains.
Il s’agirait encore une fois de ne pas finir esclaves de nos propres créations.
