Il y a des inventions toutjours un peu farfelues comme ça d’apparence mais qui peuvent servir.
Le Rapex, l’arme anti-viol inventé par la chercheuse sud-africaine Sonet Ehlers, est un préservatif doté d’épines en guise de dents qui permet de lutter contre le viol.
Retour sur cette ingénieuse invention qui a fait trembler plus d’un dans le monde des violeurs. À la base de cette invention, une promesse faite par l’inventrice à une victime de viol en 1959.
La chercheuse explique : « J’ai rencontré au service transfusion où je travaillais une jeune fille qui avait été violée. Elle m’a dit : ‘Si SEULEMENT j’avais eu des dents à cet endroit !’ J’ai alors promis de faire quelque chose un jour pour empêcher que ce genre de choses se reproduisent impunément. Deux ou trois semaines plus tard, j’ai rencontré près d’un théâtre, deux médecins venus aider un homme qui s’était coincé le pénis dans la fermeture éclair de son pantalon. Il ne pouvait pas bouger et criait de douleur.

C’est comme ça que j’ai eu l’idée de créer quelque chose qui paralyse l’agresseur, qui l’empêche de courir, de marcher, de bouger tout simplement et qui ne peut être enlevé qu’à l’hôpital, raconte Sonet Ehlers. Tout a donc commencé par là. Mais à l’époque, il n’y avait pas la technologie nécessaire pour inventer un instrument du genre.
La chercheuse a donc poursuivit ses recherches jusqu’en 2005, quand elle lance enfin le RapeX. Un dispositif de sécurité à usage unique qui se place comme un tampon hygiénique à l’aide d’un applicateur spécial. Lorsque le violeur pénètre sa victime, il ne sent rien, mais au moment de s’en retirer, son pénis est accroché par de très fines épines en plastique dur recourbées vers l’extérieur.
La douleur est si vive qu’il ne s’occupe même plus de sa victime qui peut donc s’enfuir. Le violeur souffrira beaucoup et ne pourra plus uriner tant que le RapeX ne sera pas retiré et sera obligé de se rendre à l’hôpital. Les autorités sauront alors que c’est un violeur. » explique l’inventrice.
Il existe tout de même des gens qui se sont plaints qu’il s’agissait d’une punition médiévale. Et bien il serait peut-être temps de dire à ce gens là que si certains hommes étaient plus civilisés nous n’aurions pas besoin d’en arriver là… C’est un dispositif médiéval, fait pour un acte médiéval !
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